Vibrations fantômes, 2022
Installation vidéo créée lors d’une résidence d’un mois à l’Écart. Durant cette période, l’artiste élu domicile dans la galerie. Le lieu occupa simultanément la fonction de chambre, d’atelier et d’espace d’exposition, brouillant les frontières entre l’intime, le travail et le public. Cherchant à rendre compte d’un état de paralysie quelque part entre le repos et l’épuisement, cette exposition explore le potentiel affectif et sculptural des objets de son quotidien. Diverses machines, des câbles, de la vaisselle, des restes de fruits, des déchets ainsi que des effets personnels composent des assemblages laissés à l’abandon; tels les vestiges d’une consommation obsessionnelle et maladive comme remède à un sentiment d’aliénation continuel.
Présenté à l’Écart (Rouyn-Noranda, QC), du 28 au 31 juillet 2022.
Visiteurs.euses : Audrey Jalce, Frédérique Lecours, Étienne Ménard, Gabriel Grenier, Gabrielle Morin, Neeko Paluzzi, Salomay Julien
Installation vidéo créée lors d’une résidence d’un mois à l’Écart. Durant cette période, l’artiste élu domicile dans la galerie. Le lieu occupa simultanément la fonction de chambre, d’atelier et d’espace d’exposition, brouillant les frontières entre l’intime, le travail et le public. Cherchant à rendre compte d’un état de paralysie quelque part entre le repos et l’épuisement, cette exposition explore le potentiel affectif et sculptural des objets de son quotidien. Diverses machines, des câbles, de la vaisselle, des restes de fruits, des déchets ainsi que des effets personnels composent des assemblages laissés à l’abandon; tels les vestiges d’une consommation obsessionnelle et maladive comme remède à un sentiment d’aliénation continuel.
Présenté à l’Écart (Rouyn-Noranda, QC), du 28 au 31 juillet 2022.
Visiteurs.euses : Audrey Jalce, Frédérique Lecours, Étienne Ménard, Gabriel Grenier, Gabrielle Morin, Neeko Paluzzi, Salomay Julien















J’ai rêvé (d’une archive), 2021
Acide (perchlorure de fer), gravure à l’acide sur papier/papier de soie/tissu, aquatinte sur papier, cahier de notes, acier, zinc, cuivre.
J’ai rêvé (d’une archive) présente une série d’œuvres, réalisées durant une résidence d’un an (2020-2021) à l’Atelier Circulaire, explorant une approche sculpturale et matérielle de la gravure. L’exposition montre de la recherche écrite et visuelle ainsi que l’amorce d’une série visant l’archivage des rêves de l’artiste.
Présenté à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire, du 5 au 14 novembre 2021.
Réalisé avec le soutien de la Bourse François-Xavier Marange.
Images : alignements
Acide (perchlorure de fer), gravure à l’acide sur papier/papier de soie/tissu, aquatinte sur papier, cahier de notes, acier, zinc, cuivre.
J’ai rêvé (d’une archive) présente une série d’œuvres, réalisées durant une résidence d’un an (2020-2021) à l’Atelier Circulaire, explorant une approche sculpturale et matérielle de la gravure. L’exposition montre de la recherche écrite et visuelle ainsi que l’amorce d’une série visant l’archivage des rêves de l’artiste.
Présenté à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire, du 5 au 14 novembre 2021.
Réalisé avec le soutien de la Bourse François-Xavier Marange.
Images : alignements














Je (ne) t’oublierai (pas), 2021-
Impression au jet d’encre sur papier archive, 24 x 32 po.
Une ancienne lettre d’amour (2013), adressée à l’artiste, a été numérisée et reproduite sur son dos. Les mots furent marqués avec une technique de tatouage sans encre, ne laissant que des lésions sur la peau. Cette image, captée immédiatement après l’acte de retranscription, est l’amorce d’une série photographique documentant la guérison et la disparition complète de la blessure.
Blessure : éli del
Image : Andy Maple
Impression au jet d’encre sur papier archive, 24 x 32 po.
Une ancienne lettre d’amour (2013), adressée à l’artiste, a été numérisée et reproduite sur son dos. Les mots furent marqués avec une technique de tatouage sans encre, ne laissant que des lésions sur la peau. Cette image, captée immédiatement après l’acte de retranscription, est l’amorce d’une série photographique documentant la guérison et la disparition complète de la blessure.
Blessure : éli del
Image : Andy Maple

Les fourmis ne transporteront pas nos chagrins, 2019
Impression sur tissu/polycarbonate, roches, coraux, iPhone, chaise de camping, rembourrage, serviette, glacière, eau.
Impression sur tissu/polycarbonate, roches, coraux, iPhone, chaise de camping, rembourrage, serviette, glacière, eau.





Doucement les corps, 2019
65 pages
ISBN-978-2-924958-02-5
15 CAD$ ︎︎︎ Les Éditions du Mur
«Doucement les corps rassemble une série de poèmes meurtris et minimalistes comme les émanations restantes de rencontres nocturnes et de déchirures amoureuses. Une écriture où les mots disparaissent pour que ne reste que leur matérialité et le tangible des sensations. Ce recueil s’intéresse aux espaces entre les mots, à ce qui n’est pas dit. Comme une chanson avant tout composée de silences.» (Les Éditions du Mur)
65 pages
ISBN-978-2-924958-02-5
15 CAD$ ︎︎︎ Les Éditions du Mur
«Doucement les corps rassemble une série de poèmes meurtris et minimalistes comme les émanations restantes de rencontres nocturnes et de déchirures amoureuses. Une écriture où les mots disparaissent pour que ne reste que leur matérialité et le tangible des sensations. Ce recueil s’intéresse aux espaces entre les mots, à ce qui n’est pas dit. Comme une chanson avant tout composée de silences.» (Les Éditions du Mur)








Émersion, 2014
Vidéo (2min44)
Émersion, 2014
Vidéo (2min44)