FO REVER, 2023
L’exposition FO REVER abrite les rêves d’Alex Pouliot, un corpus d’œuvres qui poursuit un travail de longue haleine sur l’archivage du sensible. Les rêves sont archivés, l’inconscient est matérialisé, et l’impalpable est concrétisé. L’installation immersive laisse place à une atmosphère onirique qui plonge textuellement et (texture)ément au cœur de l’imaginaire de l’artiste. Les déclinaisons du rêve sous format visuel, audio, écrit, traduisent une exploration de la matière pour rendre le rêve tangible. Par la gravure, le relief, les textiles, les textures, une installation audiovisuelle est conçue en collaboration avec les artistes Charline Dally et Jules Leloup Mayrand. Celle-ci ouvre le champ des possibles pour creuser la matière et les possibilités infinies d’archivage du rêve. Le fruit de ce dialogue à trois donne naissance notamment à une œuvre vidéo, pièce maîtresse, qui apparaît comme un vortex vers l’intimité et la vulnérabilité des rêves. Un portail est ouvert vers des rêves enivrants et envoûtants.
Texte : Margot Chambon
Animation 3D : Jules Leloup Mayrand
Son : Charline Dally
Présenté à l’Atelier Circulaire (Montréal, QC), du 15 juin au 22 juillet 2023.
Images (extérieur) : Mike Patten
L’exposition FO REVER abrite les rêves d’Alex Pouliot, un corpus d’œuvres qui poursuit un travail de longue haleine sur l’archivage du sensible. Les rêves sont archivés, l’inconscient est matérialisé, et l’impalpable est concrétisé. L’installation immersive laisse place à une atmosphère onirique qui plonge textuellement et (texture)ément au cœur de l’imaginaire de l’artiste. Les déclinaisons du rêve sous format visuel, audio, écrit, traduisent une exploration de la matière pour rendre le rêve tangible. Par la gravure, le relief, les textiles, les textures, une installation audiovisuelle est conçue en collaboration avec les artistes Charline Dally et Jules Leloup Mayrand. Celle-ci ouvre le champ des possibles pour creuser la matière et les possibilités infinies d’archivage du rêve. Le fruit de ce dialogue à trois donne naissance notamment à une œuvre vidéo, pièce maîtresse, qui apparaît comme un vortex vers l’intimité et la vulnérabilité des rêves. Un portail est ouvert vers des rêves enivrants et envoûtants.
Texte : Margot Chambon
Animation 3D : Jules Leloup Mayrand
Son : Charline Dally
Présenté à l’Atelier Circulaire (Montréal, QC), du 15 juin au 22 juillet 2023.
Images (extérieur) : Mike Patten
Vibrations fantômes, 2022
Installation vidéo créée lors d’une résidence d’un mois à l’Écart. Durant cette période, l’artiste élu domicile dans la galerie. Le lieu occupa simultanément la fonction de chambre, d’atelier et d’espace d’exposition, brouillant les frontières entre l’intime, le travail et le public. Cherchant à rendre compte d’un état de paralysie quelque part entre le repos et l’épuisement, cette exposition explore le potentiel affectif et sculptural des objets de son quotidien. Diverses machines, des câbles, de la vaisselle, des restes de fruits, des déchets ainsi que des effets personnels composent des assemblages laissés à l’abandon; tels les vestiges d’une consommation obsessionnelle et maladive comme remède à un sentiment d’aliénation continuel.
Présenté à l’Écart (Rouyn-Noranda, QC), du 28 au 31 juillet 2022.
Visiteurs.euses : Audrey Jalce, Frédérique Lecours, Étienne Ménard, Gabriel Grenier, Gabrielle Morin, Neeko Paluzzi, Salomay Julien
Installation vidéo créée lors d’une résidence d’un mois à l’Écart. Durant cette période, l’artiste élu domicile dans la galerie. Le lieu occupa simultanément la fonction de chambre, d’atelier et d’espace d’exposition, brouillant les frontières entre l’intime, le travail et le public. Cherchant à rendre compte d’un état de paralysie quelque part entre le repos et l’épuisement, cette exposition explore le potentiel affectif et sculptural des objets de son quotidien. Diverses machines, des câbles, de la vaisselle, des restes de fruits, des déchets ainsi que des effets personnels composent des assemblages laissés à l’abandon; tels les vestiges d’une consommation obsessionnelle et maladive comme remède à un sentiment d’aliénation continuel.
Présenté à l’Écart (Rouyn-Noranda, QC), du 28 au 31 juillet 2022.
Visiteurs.euses : Audrey Jalce, Frédérique Lecours, Étienne Ménard, Gabriel Grenier, Gabrielle Morin, Neeko Paluzzi, Salomay Julien
J’ai rêvé (d’une archive), 2021
Acide (perchlorure de fer), gravure à l’acide sur papier/papier de soie/tissu, aquatinte sur papier, cahier de notes, acier, zinc, cuivre.
J’ai rêvé (d’une archive) présente une série d’œuvres, réalisées durant une résidence d’un an (2020-2021) à l’Atelier Circulaire, explorant une approche sculpturale et matérielle de la gravure. L’exposition montre de la recherche écrite et visuelle ainsi que l’amorce d’une série visant l’archivage des rêves de l’artiste.
Présenté à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire, du 5 au 14 novembre 2021.
Réalisé avec le soutien de la Bourse François-Xavier Marange.
Images : alignements
Acide (perchlorure de fer), gravure à l’acide sur papier/papier de soie/tissu, aquatinte sur papier, cahier de notes, acier, zinc, cuivre.
J’ai rêvé (d’une archive) présente une série d’œuvres, réalisées durant une résidence d’un an (2020-2021) à l’Atelier Circulaire, explorant une approche sculpturale et matérielle de la gravure. L’exposition montre de la recherche écrite et visuelle ainsi que l’amorce d’une série visant l’archivage des rêves de l’artiste.
Présenté à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire, du 5 au 14 novembre 2021.
Réalisé avec le soutien de la Bourse François-Xavier Marange.
Images : alignements
Je (ne) t’oublierai (pas), 2021-
Impression au jet d’encre sur papier archive, 24 x 32 po.
Une ancienne lettre d’amour (2013), adressée à l’artiste, a été numérisée et reproduite sur son dos. Les mots furent marqués avec une technique de tatouage sans encre, ne laissant que des lésions sur la peau. Cette image, captée immédiatement après l’acte de retranscription, est l’amorce d’une série photographique documentant la guérison et la disparition complète de la blessure.
Blessure : éli del
Image : Andy Maple
Impression au jet d’encre sur papier archive, 24 x 32 po.
Une ancienne lettre d’amour (2013), adressée à l’artiste, a été numérisée et reproduite sur son dos. Les mots furent marqués avec une technique de tatouage sans encre, ne laissant que des lésions sur la peau. Cette image, captée immédiatement après l’acte de retranscription, est l’amorce d’une série photographique documentant la guérison et la disparition complète de la blessure.
Blessure : éli del
Image : Andy Maple
Les fourmis ne transporteront pas nos chagrins, 2019
Impression sur tissu/polycarbonate, roches, coraux, iPhone, chaise de camping, rembourrage, serviette, glacière, eau.
Impression sur tissu/polycarbonate, roches, coraux, iPhone, chaise de camping, rembourrage, serviette, glacière, eau.